Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

CIDH-Burundi Développement

CIDH-Burundi Développement
  • Le CIDH ou Central d'Initiatives pour le Développement et la Défense des Droits Humains, est une ONG agrée au Burundi depuis 2006. Son objectif principal est la lutte contre l'ignorance et la pauvreté surtout en milieu rural au Burundi.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 13 413
Pages
Newsletter
Archives
15 mars 2016

Burundi: Protection de l’Environnement

 

Au Burundi  le Forêts, l’environnement et des Changements Climatiques sont gérés par l'OBPE (Office Burundais pour la Protection de l’Environnement), créé par décret N° 100/240 du 29 Octobre 2014 portant création, missions, organisation et fonctionnement de l’Office. L’OBPE est donc un établissement public doté de la personnalité juridique, d’un patrimoine propre et d’une autonomie financière et administrative. L’OBPE est placé sous la tutelle du Ministère de l’environnement.  

La mission de l'OBPE est de:

  • Assurer le suivi et l’évaluation des programmes de développement pour s’assurer du respect des normes environnementales dans la planification et l’exécution de tous les projets de développement, susceptibles d’avoir un impact négatif sur l’environnement;
  • Entreprendre et encourager les recherches et les mesures d’accompagnement pour le maintien de la diversité biologique;
  • Etablir les normes de qualité des essences forestières;
  • Faire respecter les normes environnementales et proposer toutes les mesures de sauvegarde et de protection de la nature;
  • Identifier et proposer de nouvelles Aires à protéger et d’autres zones riches en biodiversité nécessitant des mesures spéciales de protection;
  • Mettre en place des mécanismes d’atténuation et adaptation aux changements climatiques;
  • Mettre en place et faire le suivi des mécanismes de commerce et d’échanges internationaux des espèces de faune et de flore;
  • Préparer les dossiers techniques pour la Commission Nationale de l’Environnement. 
  • Veiller à la mise en œuvre des obligations découlant des Conventions et Accords internationaux relatifs à l’environnement auxquels le Burundi est Partie;
  • Veiller au respect du Code de l’Eau, du Code forestier, du Code de l’environnement et autres textes en rapport avec la protection de  l’environnement;

Pour plus de détails voir le décret en pdf ici:

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
15 mars 2016

L’eau potable, un droit pour tous, pourtant……

 

 

L’eau potable et l’assainissement sont un droit de l’homme. Pourtant, actuellement, 663 millions d’individus n’ont pas d’eau potable.

Chaque jour il leur faut marcher des heures pour chercher de l’eau. Pour les femmes et les filles c’est souvent une marche dangereuse qui les empêche d’aller à l’école ou de procurer des revenus à la famille. De plus l’eau qu’elles ramènent des rivières ou des lacs n’est souvent pas potable car les gens s’y lavent ou les animaux y font leurs  besoins. Cette eau est un nid de bactéries. Chaque année, plus de 340.000 enfants de moins de 5 ans meurent de la diarrhée, causée par le manque d'eau potable, de l'assainissement et de l'hygiène.

La solution est pourtant simple: investir dans des installations pour l’eau potable procure des avantages évidents. Des vies sont sauvées, les frais pour les soins de santé baissent et la productivité d’un pays s’accroît. En fournissant de l’eau potable à tous, on prend la pauvreté à sa racine. En effet, celui qui dispose d’un point d’eau à proximité  a le temps de travailler, de s’occuper de sa famille ou d’aller à l’école.

Pourquoi est-ce si difficile? C’est dû à un certains nombres de facteurs: trop peu de volonté politique à l’échelon supérieur, trop peu d’investissements, l’accroissement rapide de la population, la mauvaise gestion et le mauvais entretien des installations et le fait que dans le Sud les autorités locales disposent de trop peu de moyens et de savoir-faire pour organiser l’alimentation en eau de la population.

L’Objectif du millénaire pour l’eau précisait que jusqu’en 2015, il fallait diminuer de moitié le pourcentage d’individus sans accès à l’eau potable salubre et à des installations sanitaires,  par rapport à 1990. Cet objectif est loin d’être complètement achever dans beaucoup de localités au Burundi : la qualité de l’eau  laisse encore à désirer dans les milieux ruraux et il faut encore souvent  marcher plusieurs kilomètres pour trouver de l’eau qui se transporte sur la tête. Dans la plupart des quartiers de Bujumbura, l’eau n’est pas disponible 24 heures sur 24.

 

 

7 mars 2016

Tambours du Burundi

Résultat de recherche d'images pour

 

Les tambours du Burundi ont été inscrits, le 27 novembre 2014 , sur la liste du patrimoine immatériel de l'humanité de l'UNESCO. La danse rituelle au tambour royal est un spectacle qui associe le son du battement des tambours à des danses, de la poésie héroïque et des chants traditionnels. Toute la population du Burundi la reconnaît comme un élément fondamental de son patrimoine et de son identité. Désormais, c'est reconnu au niveau mondial et c’est le sentiment de fierté qui semble dominer au Burundi. Regardez!

 

 Source: YOUTUBE

 

 

1 mars 2016

Energies renouvelables au Burundi

http://lenergeek.com/wp-content/uploads/2012/04/centrale-hydroelectrique.jpg

Le Burundi a un potentiel électrique exploitable de 1.300 MW mais aujourd’hui seuls quelques 30-50MW sont effectivement exploités bien que divers projets pour réduire ce déficit énergétique soient en cours.

La production d’énergie du Burundi ne suffit pas pour satisfaire la demande sur le long terme même si la consommation moyenne d’énergie du Burundi reste l’une des plus faibles d’Afrique, avec seulement 23 kWh par personne et par an. En plus la mise en œuvre du projet de raffinerie du nickel à Musongati dans le sud-est du pays aurait un minimum de besoins en capacité de 200 MW. A ce projet s’ajoute la réhabilitation ou la naissance de nouvelles unités ainsi que l’électrification des zones rurales.

Pour palier le déficit énergétique futur, le Burundi a annoncé avoir entrepris certains projets comme la construction de la centrale hydroélectrique de Mpanda (10,4 MW), celle sur la rivière Kaburantwa (20 MW) ou encore une nouvelle centrale thermique d’une puissance de 5 MW à Bujumbura ainsi que la centrale hydroélectrique sur la rivière Kagunuzi de 12 MW. Le Burundi, par ailleurs, aura une part de 49 MW de la production de la centrale hydroélectrique de Ruzizi III d’une puissance de 145 MW construite dans le cadre de la Communauté Economique des Pays des Grands Lacs (CEPGL). Le Burundi bénéficiera aussi de 27 Mw issus de la centrale hydroélectrique de Rusomo-falls d’une puissance de 80 MW qui reliera Burundi, Tanzanie et Rwanda.

 

Malgré ces efforts, le déficit burundais en énergie électrique ne va pas se résorber totalement. Il devrait même continuer d’augmenter. Les études de planification menées par ce ministère démontrent que les problèmes de disponibilité en électricité ne pourront pas être résolus avant 2017-2018, période à laquelle les investissements préconisés participeront normalement au rétablissement de l’équilibre énergétique du pays.

Afin de répondre aux besoins énergétiques croissants de sa population, tout en prenant en compte la variable environnementale, le gouvernement du Burundi a initié en décembre 2013 une stratégie portant sur le développement « des énergies nouvelles et renouvelables à l’horizon 2030 ». Cette démarche, qui permettra de proposer des actions concrètes pour tenter de réduire le déficit énergétique du pays, vise à favoriser l’exploitation du potentiel renouvelable considérable du pays (hydraulique, éolien, solaire…).

Plus récemment le ministre burundais de l’Energie disait vouloir atteindre une puissance de production de 370 MW à l’horizon 2017. Pour cela, il a évoqué la construction de plusieurs barrages et le déblocage de fonds pour les travaux d’aménagements afférents (voies d’accès, ligne de transports d’électricité…).

Parmi les projets importants figurent la construction de deux barrages sur les rivières Jiji et Murembwe, la centrale hydroélectriques qui sera érigée sur la rivière Ruzibazi, ainsi que les centrales de MPanda, de Kabu 16 (implantée sur la Kaburantwa) et de Kagu 006 (sur la Kagunuzi). A cela s’ajoute également d’autres projets, comme une centrale solaire pilote et la centrale hydroélectrique de Ruzizi III, que se partageront le Burundi, la République du Congo et le Rwanda.

Source: Article actualisé à partir de http://lenergeek.com

 

19 février 2016

CIDH a plusieurs projets pour le Burundi

 

Le CIDH-Burundi contribue à (1) lutter contre l'extrême pauvreté en milieu rural et (2) abaisser le taux de chômage des jeunes diplômés par l'enseignement des métiers. Nous travaillons avec des associations de développement à la base dans plusieurs pronvinces du Burundi.

Nos projets sont orientés dans les domaines de:

  • Protection de l'Environnement (Enlevement des immondices autour des marchés à Bujumbura, .....
  • Agriculture (cultures vivrières): Maïs, Manioc, Banane,........
  • Agriculture (cultures d'exportation): Intérêt aux nouvelles cultures comme la STEVIA,......
  • Elevage (Abeilles à Karusi, Vaches dans le diocèse de Gitega,.....
  • Education aux TIC et aux Médias (dans plusieurs provinces,.......)
  • Information sur les droits et les devoirs Humains (dans plusieurs provinces,......)
  • Défense des droits Humains (dans plusieurs provinces,........)
  • Informations sur l'exploitation minière à Rutana, Cibitoke, Muyinga,......

 

CARTE ADMINISTRATIVE DU BURUNDI

(provinves et communes)

Résultat de recherche d'images pour EDITEURS DU CIDH-BURUNDI

 

Publicité
Publicité
16 février 2016

CIDH au centre du développement durable

Les 3 piliers du développement durable

«  Le développement durable doit assurer la croissance économique, l’amélioration de l’environnement et la préservation des ressources naturelles. Il doit permettre de répondre aux besoins actuels, sans compromettre les possibilités pour les générations futures de répondre à leur propres besoins ». [1]

Comme le montre la figure suivante, le développement durable s’appuie sur trois piliers (la société, l'économie et l'environnement): [2]

 

  • Le pilier économique : l’économie est un pilier qui occupe une place prééminente dans notre société de consommation. Le développement durable implique la modification des modes de production et de consommation en instruisant des actions pour que la croissance économique ne se fasse pas au détriment de l’environnement et du social.

 

  • Le pilier social : Le développement durable englobe la lutte contre l’exclusion sociale, l’accès généralisé aux biens et aux services, les conditions de travail, l’amélioration de la formation des salariés et leur diversité, le développement du commerce équitable et local.

 

  • Le pilier environnemental : Le développement durable est souvent réduit à tort à cette seule dimension environnementale. Il est vrai que dans les pays industrialisés, l’environnement est l’une des principales préoccupations en la matière. Nous consommons trop et nous produisons trop de déchets. Rejetons dorénavant les actes nuisibles à notre planète pour que notre écosystème, la biodiversité, la faune et la flore puissent être préservées.

Pour en savoir plus aller sur: http://www.mtaterre.fr

 

 

 

15 février 2016

Promotion de l'Anglais au Burundi

 

 

Burundi / USA : Des jeunes américains appuient les cours d’Anglais en primaire …

A Encinitas à San Diego en California aux USA, depuis le mois d’octobre 2015 à ce mois de janvier 2016, les étudiants du Collège Saint John ont débuté une campagne de vente du café du Burundi, envoyé par des cafetiers locaux burundais, pour récolter 5000 USD ( soit environ 7,8 Millions BIF ) afin de soutenir un projet scolaire au Burundi , réalisé par Burundi Friends International (BFI).

Mme Julie Marner, présidente du BFI et en même temps directrice de la programmation musicale à l’Église Saint John, qui travaille avec M. Fabrice Bizimana,explique que le projet en question est la mise en place d’une bibliothèque avec des livres en anglais qui sera ouvert à toutes les écoles primaires du Burundi pour permettre d’apprendre la langue de Shakespeare – l’anglais.

Au Burundi, depuis 2005, l’état a lancé une modernisation de tout son système socioéconomique En 2006, le Burundi a ouvert à la gratuité scolaire tout son cursus scolaire fondamentale ( ou primaire ). Les jeunes du Burundi apprennent le Kirundi ( langue parlé au niveau national ), le Swahili ( langue parlé au niveau régional ), l’Anglais ( langue parlé au niveau international ) et le Français ( langue parlé au niveau de la Francophonie ) à l’école primaire.

Burundi AGnews

8 février 2016

Bienvenu(e)s au CIDH

8 septembre 2015

La Diaspora est un précieux réservoir de compétences pour le développement du Burundi: cas de l’exploitation des minérais

La Diaspora est un précieux réservoir de compétences pour le développement du Burundi: cas de l’exploitation des minérais
Une conférence du Docteur-Chimiste, Mathias Gahungu (photo), Journée de la Diaspora Burundaise de Belgique à Louvain-la-Neuve, Belgique, Samedi , 1 février 2014. PHOTO: Dr Mathias GAHUNGU. Bat B6-CHIMIE. UNIVERSITE DE LIEGE, JANV 2014. Beaucoup d'études...
18 août 2015

CIDH défend les droits humains (femme-enfant)

Le 10 décembre 1948, les 58 États qui étaient membres de l’ONU (l’Organisation des Nations Unies) ont signé la Déclaration universelle des droits de l’homme. Ce texte est une liste de 30 choses [1] auxquelles tous les humains sans exception ont droit....
Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 > >>
Publicité