Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

CIDH-Burundi Développement

CIDH-Burundi Développement
  • Le CIDH ou Central d'Initiatives pour le Développement et la Défense des Droits Humains, est une ONG agrée au Burundi depuis 2006. Son objectif principal est la lutte contre l'ignorance et la pauvreté surtout en milieu rural au Burundi.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 13 413
Pages
Newsletter
Archives
15 avril 2016

Le Soudan du Sud rejoint officiellement l'EAC

Le Soudan du Sud rejoint officiellement l'EAC
Créée en 2001, la Communauté d'Afrique de l'Est (en anglais East African Community, EAC) est une organisation internationale de cinq pays de l'Afrique de l'Est comprenant le Burundi, le Kenya, l'Ouganda, le Rwanda et la Tanzanie. Le Burundais Libérât...
Publicité
Publicité
13 avril 2016

La diaspora burundaise devrait s'inspirer de NIOKOBOK

La diaspora burundaise devrait s'inspirer de NIOKOBOK
Source : adapté de www.jeuneafrique.com Le CIDH est convaincu que comme on le voit ailleurs, la diaspora burundaise peut contribuer au développement économique de sa mère patrie: le Burundi. C'est dans cette perspective la rédaction du CIDH partage cet...
21 mars 2016

Conseils pour démarrer sa propre entreprise

Conseils pour démarrer sa propre entreprise
1. Do a self-inventory. Not everyone has what it takes to start a company. That’s not to say that your idea is not brilliant. It just means that you may not have the personality traits to handle launching a company of your own. Before investing any time...
18 mars 2016

Le PIB du Rwanda augmenté via les Services et l'agriculture

 

Le PIB du Rwanda a augmenté de +6,9 % en 2015, contre +7 % en 2014, porté notamment par la bonne santé du secteur agricole et des services. Les comptes extérieurs du pays se sont toutefois détériorés, en raison notamment de la baisse des revenus des exportations minières.

En 2015, le PIB du Rwanda a atteint 5 837 milliards de francs rwandais (7 milliards d’euros), contre 5 395 milliards en 2014, soit une hausse de +8,19 % à prix courant. À prix constant, la croissance réelle du PIB est de +6,9 % en 2015. Une performance proche de celle enregistrée en 2014 (+7 %).

Services et agriculture

Selon le département des statistiques du gouvernement, ce résultat est du notamment à une bonne performance du secteur des services (47 % du PIB) a enregistré un taux de croissance réelle de +7,47 % en 2015. Sa contribution à la hausse du PIB a été de 3,7 points l’an dernier.

Le secteur agricole a enregistré une croissance réelle de +5 % en 2015, contribuant ainsi à hauteur de 1,5 point au taux de croissance de 2015. L’agriculture représente 33 % du PIB du Rwanda.

Le secteur industriel (14 % du PIB) a crû de + 7 % l’an dernier, apportant 1 point à la croissance globale de l’économie rwandaise en 2015.

 Source: @jeune Afrique

 

 

17 mars 2016

Promouvoir l'artisanat pour booster l'économie Burundaise

Résultat de recherche d'images pour "image artisanat burundi"

Au CIDH nous somme convaincu que le développement du secteur artisanat pourrait constituer de nouvelles sources de revenus et d’émancipation pour lutter contre la pauvreté [1].  En effet, l’artisanat est bien présent au Burundi et les productions artisanales les plus importantes sont la poterie, la menuiserie, et spécifiquement la vannerie, qui est l’art burundais par excellence.  Cependant, ce secteur est jusqu’à présent nettement moins développé que dans les autres pays de l’AEC. Parallèlement à l’amélioration des lieux touristiques, le Burundi et les ONG doivent organiser les producteurs locaux à améliorer la qualité de leurs productions artisanales actuelles  pour qu’elle atteigne les standards d’exportation.

Le CIDH épouse également l'analyse de Niyonkuru F.  que " Il est indéniable que l’artisanat ne soit l’un des secteurs clés qui soutient l’économie du pays dans ces multiples rôles  qui engagent et utilisent en même temps les ressources naturels et humains. Il crée l’emploie, pourvoit des outils et du savoir professionnel aux jeunes, aux femmes et aux handicapés, qui sont les plus mois économiquement situés et vulnérables dans notre société. L’effort du gouvernement de mettre tout enfant à l’école n’empêchera pas qu’il y ait ce groupe des jeunes  qui ne pourront pas aller très loin et qui voudront gagner une vie, ces femmes  et ces handicapés dont les moyens financiers sont limités pour mener une vie plus ou moins indépendante" [2].

Comme le propose un fonctionnaire  de la chambre sectorielle de l’art et de l’artisanat (CHASAA) à la Chambre fédérale du commerce et de l’industrie du Burundi (CFCIB) [2], il faudrait commencer par faire une étude pour pouvoir déterminer la spécialité artisanale par province. Selon ce même auteur, dans chaque province, on distingue trois types d’artisanat : celui de l’artisanat de production, de service et d’art ou décoratif.

L’artisanat de production (qualifié également d’utilitaire), est le plus pratiqué et accapare le plus grand nombre d’artisans et d’unités de productions artisanales. Il s’agit notamment de la menuiserie, de la briqueterie, de la tuilerie, de la boulangerie et de la charpenterie. La forge et la poterie sont une spécialité des communautés Batwa.

Résultat de recherche d'images pour "burundi artisanat image"

Dans toutes les provinces du pays, on produit quelque chose. Par exemple, à Gitega, on trouve des « uduseke », de petits paniers fabriqués à base de bambous, papyrus, bananiers ou roseaux. Dans la province de Mwaro, « ibiseke », de gros paniers. « Inkoko », des corbeilles dans la province de Kayanza. Kirundo possède les meilleures nattes (« ibirago ») du pays. A Rutana, « ibivumvumvu », « ibitunga », de gros paniers. Cela veut dire qu’il suffirait d’organiser les producteurs pour améliorer la qualité et la quantité de ces objets d’art en vu d’une exportation.

L’artisanat de service concerne la couture, la broderie, la soudure, le garage, la cordonnerie et la coiffure. Il est représenté dans toutes les provinces et orienté vers la satisfaction des besoins fonctionnels.

Résultat de recherche d'images pour "image artisanat burundi"

L’artisanat d’art ou décoratif a commencé avec le développement du tourisme. Figurent dans cette catégorie : la sculpture sur bois, sur métal, en argile, le travail sur les pierres précieuses, la peinture sur tissu, sur bois, en feuille de bananier, la pyrogravure etc. Il est implanté dans les zones urbaines et se développe considérablement.

(1) http://www.bi.undp.org/content/burundi; (2) http://www.zeraction.com (3) http://fr.africatime.com/burundi/burundi

La Rédaction du CIDH

 

Publicité
Publicité
17 mars 2016

Agriculture et élevage au Burundi : Analyse des Défis et solutions par CIDH

 

 

L’agriculture et l’élevage  constituent l’un des secteurs clés pour la sécurité alimentaire au Burundi. Le Burundi est l’un des pays au monde qui connait  une  saison pluviale  alternée et  assez longue, son sol est fertile et toutes les cultures vivrières peuvent y pousser sans aucun problème. D’ailleurs, le Burundi est surnommé par les uns, pays aux mille et une collines et pour les autres, cœur d’Afrique.

Ce petit pays d’Afrique possède également le Lac Tanganyika qui est le premier lac le plus long du monde  avec 677 km de long et 50 Km de largeur ; il est  le deuxième le plus profond  du monde après le lac Baïkal et le deuxième lac le plus grand du monde après le lac victoria.

Comme je l’ai montré plus haut, le secteur de l’agriculture fait vivre la majorité des burundais. Cette majorité est constituée par les jeunes et les femmes. Pour constater cela, il suffit de visiter les provinces de l’intérieur du pays et contempler la verdure champêtre, vous y trouverez une population jeune.

Paradoxalement, on parle aujourd’hui de l’insécurité alimentaire. Pourquoi cette situation ?qui en sont les premières victimes ?quelles sont les solutions à y
apporter ?

Le premier  problème se trouve au niveau de l’utilisation des outils et techniques archaïques.

En effet, la population a un manque de connaissance sur l’identification du sol sur lequel il faut cultiver. Un autre manque se trouve au niveau de savoir quel type de culture il faut adopter sur quel type de sol ?cela a évidemment des répercussions sur la  production.

Le deuxième problème concerne les débouchés.

Les cultivateurs n’ont pas des industries de conservation et de transformation pour vendre leur surplus. Faute de cet outil indispensable [industrie de transformation], les cultivateurs sont obligés de vendre leurs récoltes à un prix plus bas.

Le troisième problème est celui du de la non considération du secteur agro-pastoral qu’on retrouve chez les jeunes.

La plupart des jeunes surtout, ceux « éduqués » ne cessent de clamer que l’agriculture est une activité faite pour les  pauvres. Mais s’ils savaient combien des gens même des grandes personnalités qui vivent de cette activité, ils seront étonnés. A titre d’exemple les quantités  de lait qui sont consommés dans les grandes villes du Burundi sont fournies par les laiteries qui appartiennent à des personnes aisées et éduquées.

Le dernier problème concerne le financement de ce secteur.

Au Burundi, ce secteur a toujours reçu une fourchette de financement très négligeable. Alors qu’à Maputo en 2003, les chefs d’Etat  et de gouvernement se sont engagés à affecter au moins  10 pour cent de leur budget national au secteur agricole avant l’an 2008. Le constat est que le Burundi n’a pas respecté cet engagement. En voici  quelques exemples : en 2009, ce budget était de 2,4 pour cent. Il sera rehausse a 3,7 pour cent en 2010 puis a 7 pour cent en 2011.

Les victimes

Les femmes

Au Burundi, on sait que les femmes sont la première catégorie d’individus qui s’adonnent à cette activité et en fournissent une très grande énergie, ceux qui affectent leur santé et la réduction de leur espérance de vie.

Les enfants et les jeunes

Les enfants et les jeunes constituant à eux seuls plus de 65 pour cent de la population, sont facilement frappés par l’insécurité alimentaire et par conséquent c’est leur avenir qui est hypothéqué et mis en ruine.

La nation

La nation sera obligée de vivre de l’aide étrangère alors qu’elle a trois grands potentiels pour réussir  à savoir :des terres fertiles, une population jeune et nombreuse et enfin des marchés où elle peut exporter parce que le Burundi est membre de trois grandes organisations régionales  économiques :la Communauté Est africaine, la Communauté économique des pays des grands lacs et la COMESA

Propositions des  solutions par le CIDH

  1. L’Etat burundais, ses Partenaires et  les ONG comme le CIDH doivent mettre sur pieds des projets de  formation de la masse paysanne sur les techniques modernes de cultiver afin d’accroitre le rendement ;
  2. Les jeunes ruraux diplômé ou non doivent être conscientisés par des séminaires pour qu’ils comprennent que pratiquer l’agriculture n’est pas une abomination mais une source de revenu et d’une vie décente qui peut aider à créer de l’emploi et par conséquent à diminuer le tau de chômage au Bdi.
  3. Etant donné que plus de 90% de sa population vit de l’Agri et l’élevage, le gouvernent burundais devrait octroyer au moins 20% de son budget national au secteur de l’agriculture et de l’élevage ;
  4. Vu l’abondance des productions qui constituent une matière première précieuse, l’Etat et les ONG comme le CIDH doivent mettre sur pied des projets de mise en place des industries de conservation et de transformation et trouver des marchés d’exportation comme le font nos pays voisins, l’ouest et le nord de l’Afrique.

Source : Adapté à partir d’un article de : https://bujajeunesseagri.wordpress.com

 

16 mars 2016

CIDH contribue à l’accès aux soins de santé au Burundi

 

L'état de santé de la population burundaise reste relativement précaire. Ainsi dans sa vision, le CIDH compte faire une contribution à l’accès aux soins de santé et à l’amélioration de la nutrition de la population. Nos experts médicaux  aideront à la gestion des pathologies et nos volontaires participeront aux campagnes de sensibilisation pour la protection et d’hygiène (voir notre dépliant ici)

 

En effet, selon l’OMS [1],  le taux brut de mortalité est de 15 pour mille (RGPH 2008). Cette situation est liée principalement à la fragilité du système de santé, à la charge élevée des maladies transmissibles, des maladies chroniques non transmissibles, des maladies tropicales négligées, de la vulnérabilité des mères, des enfants et des adolescents, et au poids des déterminants de la Santé (pression démographique avec une densité de plus 310 habitants au km2 et des taux très élevés de malnutrition aigués et chronique chez les enfants de 0-5 ans respectivement de 6% et 58% ).

 

Le profil épidémiologique est dominé par les maladies transmissibles affectant particulièrement la santé des femmes enceintes, des enfants constituant les groupes les plus vulnérables de la population. Ces maladies sont dominées par le Paludisme, le VIH/SIDA, la Tuberculose, les Maladies diarrhéiques, les Maladies évitables par la vaccination et les infections respiratoires aiguës. Le diabète et l’HTA sont associés dans 30% des cas selon une étude faite au Centre Hôspitalo Universitaire de Kamenge et causent des complications dégénératives dans 73,17% Concernant la mise en œuvre des accords et engagements internationaux, des progrès sont très significatifs pour l’OMD 6 et le pays vient de se doter d’un cadre d’accélération des OMD 4 et 5 et s’est engagé, avec l’appui de ses partenaires, à accélérer tous les OMD dont les résultats sont encore mitigés. Le projet de loi sur le FCTC est en révision. L’accès universel aux soins de santé de qualité constitue le défi majeur du présent agenda stratégique.

Il faut notre que selon le rapport « Perspectives économiques en Afrique » [2,3] le Burundi a réalisé, au cours de ces dernières années, d’importants progrès grâce à une série de réformes. Celles-ci ont porté principalement sur la décentralisation par la création des districts sanitaires, sur la gratuité des soins de santé des enfants de moins de 5 ans et des femmes enceintes, sur la restructuration de la carte d’assistance médicale pour le secteur informel non structuré et sur le financement basé sur les performances. En termes d’infrastructures sanitaires, le pays dispose de 0.76 hôpital pour 100 000 habitants et 0.96 centre de santé (CDS) pour 10 000 habitants, tandis que la norme de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est de 1 hôpital pour 100 000 habitants et 1 CDS pour 10 000 habitants. Les efforts faits dans le secteur ont donné des résultats : i) la part des accouchements assistés par un personnel qualifié est passée de 66.6 % à 67.5 % de 2011 à 2012 ; ii) la part des enfants vaccinés a progressé de 96 % en 2011 à près de 100 % en 2012 ; iii) le score de qualité technique des CDS est passé de 72 % en 2011 à 80 % en 2012 ; iv) le nombre de ces structures sanitaires est passé de 125 en 2011 à 165 en 2014. Enfin, le taux de séroprévalence parmi les cas dépistés a connu une baisse, tombant à 2.1 % en 2012 contre 2.6 % en 2011. Ces résultats ont été obtenus par l’appui renforcé des partenaires au secteur de la santé et par la hausse des ressources domestiques, passées de 7 % à 13 % du budget national entre 2008 et 2012.

Source :      (1) :http://www.who.int/countries/bdi/fr/

                   (2) : www.africaneconomicoutlook.org

                   (3): https://www.minisante.bi/

 

 

 

 

               

 

 

 

16 mars 2016

Recherche d'informations sur l'Emploi au Burundi

Résultat de recherche d'images pour "emploi image"
Dans un souci de contribuer à baisser le taux de chômage au Burundi, le CIDH va pariciper à la création de l'emploi  ainsi qu'à une recherche d'informations sur les opportunités d'emploi au Burundi: quelles démarches faut-il suivre pour trouver un emploi au Burundi, comment utiliser les réseaux d’influence pour trouver un emploi, quelles sont les marchés du travail au Budi? Quelle est la Structure des emplois au Bdi?

Trouver un emploi, ce n’est pas facile en temps de crise et surtout dans un pays comme la nôtre où la demande dépasse largement l’offre de l’emploi. La problématique de l’emploi se fait surtout plus sentir en milieu urbain qu’en milieu rural. Le milieu urbain se distingue du milieu rural par différents signes dont le nombre de jeunes instruits en chômage. En ville, des milliers de jeunes passent la journée à attendre cette manne du ciel : « l’emploi ».
D’autres espèrent trouver mieux : ils ne sont pas satisfaits par leur emploi le jugeant moins conforme à leur calibre. L’une des solutions au chômage et au sous-emploi des jeunes proposées par le Ministre de la jeunesse, des sports et de la culture au Conseil des ministres est la création d’une Agence burundaise pour l’emploi des jeunes (ABEJ) dont l’une des missions est de renforcer leurs capacités pour combler les lacunes de formation scolaire ou académique.
Beaucoup de jeunes quittent la campagne pour la ville dans l’espoir d’y trouver des emplois et de meilleures conditions de travail.

Quelles sont les démarches à suivre pour trouver un emploi au Burundi ?


La recherche d’emploi, au Burundi comme ailleurs, suit certaines étapes.
• Tout d’abord, pour trouver un emploi, il faut chercher et savoir où chercher. Cela peut se faire sur internet en identifiant les sites les plus reconnus et efficaces pour les chercheurs d'emploi au Burundi notamment les sites Web de : Intercontact Services, le site de l’Office Burundais des recettes, le site du Net Press, le site de l’Ambassade des Etats-Unis au Burundi, etc.


• Ensuite, il faudra se référer aux structure qui jouent le rôle d’intermédiation entre la demande et l’offre d’emploi afin de faciliter son insertion notamment, l’Agence Burundaise pour l’Emploi des Jeunes (ABEJ), Intercontact Service, etc.; lire la presse quotidienne dans laquelle certaines annonces d’emplois sont présentées comme Journal le Renouveau, Net Press ;
• Faire la prospection des entreprises : c’est-à-dire identifier les structures qui pourraient éventuellement avoir besoin de vos compétences ; s’informer sur l’entreprise: c’est-à-dire recueillir le maximum d’information sur les activités, les objectifs de la structure et surtout sur les attentes des dirigeants de leurs employés ; songer à faire des connaissances ici et là.
• Postuler ou candidater au concours de recrutement en envoyant votre CV, Copies certifiées des Diplômes obtenus, attestations de services, la lettre de motivation, et éventuellement le relevé des notes pour certains recruteurs qui l’exigent. Il faut signaler que les éléments du dossier diffèrent d’un poste à l’autre et également de l’organisme qui offrent l’emploi.

Comment utiliser les réseaux d’influence pour trouver un emploi?


Ils sont déterminants. Beaucoup d’offres d’emploi ne sont jamais rendues publiques. Elles restent la connaissance d’un petit cercle de personnes averties. Il est donc essentiel de faire fonctionner son cercle relationnel pour trouver un nouvel emploi. Cela permet également d’être bien positionné lorsqu’un nouveau poste correspondant à vos attentes est ouvert. Enfin, le piston, devenu sport national au Burundi, est toujours aussi efficace et on n’a pas trouvé mieux pour rentrer dans telle ou telle entreprise à un poste où notre CV n’aurait même pas été vu sans l’appui bienveillant d’une connaissance. Le piston peut être utile et juste si vos compétences sont en rapport avec les exigences du poste ou il peut être abusif et injuste lorsqu’il s’agit de vous propulser à un poste que vous ne méritiez pas. Dans ce second cas, votre légitimité risque rapidement d’être questionnée par vos collègues si vous ne faites pas l’affaire.

Lorsque vous avez envie d’un poste dans une entreprise, le meilleur moyen est encore de contacter directement le manager recrutant sur ce poste pour lui exprimer votre volonté. Il faut passer par la fenêtre lorsque la porte est fermée! Bien souvent, vous ne connaissez pas son nom, ni comment le joindre, utilisez par conséquent les réseaux sociaux comme Linkedin ou créer des groupes sur Facebook (par exemple, Emploi à Bujumbura/jobs in Bujumbura publie souvent des annonces d’emploi) qui vous permettront d’entrer en contact avec des personnes recrutant potentiellement sur des postes pouvant vous intéresser.

Quels sont les marchés du travail au Burundi ?


Les marchés du travail sont décomposés en trois secteurs.
Premièrement, il y a le secteur urbain structuré. Dans ce secteur, les salaires sont relativement élevés parce qu'il incorpore tous les agents du pays qui disposent d'une formation secondaire, universitaire. En outre, tous les agents souhaiteraient travailler dans ce secteur parce que non seulement ils y trouvent des salaires élevés mais qu'en plus il garantie la stabilité de l'emploi. Deuxièmement, on a le secteur urbain non structuré composé de micro-entreprises du secteur informel. Ce secteur assure des emplois particulièrement aux migrants qui sortent des zones rurales et qui désespèrent trouver un emploi dans le secteur structuré. Tous les offreurs de travail peuvent trouver un emploi en accédant à ce secteur en tant que travailleurs indépendant ou pour compte d’autrui dans des conditions de travail souvent pénibles et pour un salaire dérisoire. Cette facilité d'accès peut entre autre, constituer une limite. En effet, l'entrée de nouveaux offreurs sur ce secteur diminue les revenus déjà très bas des offreurs présents. Enfin, le troisième secteur du marché du travail correspond au secteur agricole rural.

Qu’en est-il de la Structure des emplois ?


La répartition par secteur institutionnel des emplois est un bon indicateur synthétique de la structure du marché du travail.
On distingue cinq secteurs : les administrations publiques, le secteur parapublic, le secteur privé formel, le secteur informel et enfin le secteur associatif. C'est évidemment le secteur informel qui occupe la première place : 78,8% des actifs occupés y sont employés.
Puis, vient le secteur public avec 15% des emplois.

Comment puis-je utiliser mon temps entre l'application et l’obtention d'un emploi?


Les entreprises aiment les personnes motivées et assidues au travail. Ainsi, après une demande d'emploi, il ne faut pas rester les bras croisés et attendre un appel d'entrevue. Vous pouvez vous mettre à jour en s'inscrivant à des programmes de compétences en développement à court terme ou chercher où vous pouvez obtenir un court stage. Vous pouvez également faire du bénévolat. Cela permettra non seulement de vous garder positif, mais vous aidera également à renforcer votre curriculum vitae.

Si je n'ai pas d'expérience, que puis-je faire?


L'inexpérience peut être utilisée positivement dans votre curriculum vitae ainsi que dans l'interview. Vous pouvez toujours vous présenter comme un travailleur assidu, enthousiaste, motivé et ouvert à de nouveaux défis, et désireux d'apprendre de nouvelles compétences liées à votre travail qui peut être bénéfique pour l’entreprise à laquelle vous postulez.

Source: http://www.votresalaire.org/burundi

15 mars 2016

Investir dans le commerce et l'Industrie au Burundi

Résultat de recherche d'images pour

La plupart des organisations professionnelles du secteur privé burundais (industries, commerce, mines, artisanat, transport, BTP, banques et assurances, NTIC, agro-industrie, tourisme et hôtellerie) sont réunies au sein de la Chambre Fédérale du Commerce et de l’Industrie  du  Burundi (CFCIB en sigle). De ce fait, la CFCIB est vouée au soutien et à la promotion des investissements et des activités privées au Burundi. Comme le dit petitfute.com c'est sans doute par là qu'il faut commencer pour entreprendre au Burundi et comprendre la législation économique nationale.

 

La CFCIB a pour objet d'initier, de proposer et de soutenir toutes les actions visant à améliorer l'environnement des affaires en vue du développement du secteur privé. En d'autres termes, elle assure l’encadrement et la représentation des chambres sectorielles. Elle joue le rôle d’intermédiaire entre le secteur privé et le gouvernement. Elle est composée de 11 chambres sectorielles et de 2 chambres transversales, toutes indépendantes. La fédération offre  des formations aux entrepreneurs membres et assure la plaidoirie entre eux et le gouvernement. En gros elle assure leur encadrement au plus haut niveau  et ils bénéficient des moyens de promotion via les medias. La CFCIB a gagné 3 fois le prix du meilleur informateur au niveau Africain, elle a un lien de partenariat solide avec la BAD pour la formation des entrepreneurs. Son site web est: http://www.cfcib.bi/

 

Pour adhérer à la chambre fédérale,  il faut avoir créé une chambre professionnelle, être dans le secteur professionnel. La cotisation varie selon le nombre de membres de chaque chambre sectorielle. La cotisation minimale est de 500.000Fbu par an et pour chaque chambre. Mais elle peut aller au-delà  selon  que le nombre de membres de la chambre est élevé.

Notons que la CFCIB est née en Avril 2010 en remplacement de la chambre de Commerce, d’Industrie, du Commerce et d’Artisanat du Burundi. La CFCIB est née dans le but de collecter les efforts qui étaient dispersés. Elle compte aujourd’hui plus de 2500 membres ayant un numéro d’identification fiscale. L'institution dispose aussi de sa station de radio CCIB FM+ (99 FM).

15 mars 2016

Sites immobiliers au Burundi

 Résultat de recherche d'images pour "immobilier burundi image"

ADE

BP. 274 - BUJUMBURA
(+257) 22 22 68 76 (+257) 22 22 35 11

 

BAGE

KINANIRA II, AVE MWEZI GISABO RN7 - BUJUMBURA
(+257) 79 90 44 76
nkurudesire2002@yahoo.fr

 

BURUNDI GENERAL SERVICES

AVE DE L?INDUSTRIE, IMMEUBLE TOWN RISE - BUJUMBURA
(+257) 78 31 35 55
info@bgsbdi.com
www.bgsbdi.com

 

ECOSAT - BUJUMBURA
(+257) 22 22 15 32 & 22 22 52 94

 

IMMO LINES

BP. 2072 - BUJUMBURA
(+257) 22 21 46 70 (+257) 22 22 52 05

 

INTERIMMO

BP. 982 - BUJUMBURA
(+257) 22 24 66 66 & 22 22 66 18 (+257) 22 22 66 03
info@intercontactservices.com
www.intercontactservices.com

 

NEW VISION

CHAUSSEE PRINCE LOUIS RWAGASORE - BUJUMBURA
(+257) 72 09 71 65
info@newvision-agency.biz
www.newvision-agency.biz

 

SESCO

BP. 223 - BUJUMBURA
(+257) 22 21 34 41 (+257) 22 21 34 41
www.sesco-immo.com

 

SIP SM

BP. 1968 - BUJUMBURA
(+257) 22 22 05 88 & 22 22 07 37 (+257) 22 22 62 77
sip@cni.cbinf.com

 

TANGANYIKAN HOMES

AVE SAGA II 108 - BUJUMBURA
(+257) 78 12 11 21
zumang7@gmail.com
www.tanganyikan-homes.com

 Source: http://www.lespagesjaunesafrique.com

 

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 > >>
Publicité