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CIDH-Burundi Développement
CIDH-Burundi Développement
  • Le CIDH ou Central d'Initiatives pour le Développement et la Défense des Droits Humains, est une ONG agrée au Burundi depuis 2006. Son objectif principal est la lutte contre l'ignorance et la pauvreté surtout en milieu rural au Burundi.
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15 mars 2016

L’eau potable, un droit pour tous, pourtant……

 

 

L’eau potable et l’assainissement sont un droit de l’homme. Pourtant, actuellement, 663 millions d’individus n’ont pas d’eau potable.

Chaque jour il leur faut marcher des heures pour chercher de l’eau. Pour les femmes et les filles c’est souvent une marche dangereuse qui les empêche d’aller à l’école ou de procurer des revenus à la famille. De plus l’eau qu’elles ramènent des rivières ou des lacs n’est souvent pas potable car les gens s’y lavent ou les animaux y font leurs  besoins. Cette eau est un nid de bactéries. Chaque année, plus de 340.000 enfants de moins de 5 ans meurent de la diarrhée, causée par le manque d'eau potable, de l'assainissement et de l'hygiène.

La solution est pourtant simple: investir dans des installations pour l’eau potable procure des avantages évidents. Des vies sont sauvées, les frais pour les soins de santé baissent et la productivité d’un pays s’accroît. En fournissant de l’eau potable à tous, on prend la pauvreté à sa racine. En effet, celui qui dispose d’un point d’eau à proximité  a le temps de travailler, de s’occuper de sa famille ou d’aller à l’école.

Pourquoi est-ce si difficile? C’est dû à un certains nombres de facteurs: trop peu de volonté politique à l’échelon supérieur, trop peu d’investissements, l’accroissement rapide de la population, la mauvaise gestion et le mauvais entretien des installations et le fait que dans le Sud les autorités locales disposent de trop peu de moyens et de savoir-faire pour organiser l’alimentation en eau de la population.

L’Objectif du millénaire pour l’eau précisait que jusqu’en 2015, il fallait diminuer de moitié le pourcentage d’individus sans accès à l’eau potable salubre et à des installations sanitaires,  par rapport à 1990. Cet objectif est loin d’être complètement achever dans beaucoup de localités au Burundi : la qualité de l’eau  laisse encore à désirer dans les milieux ruraux et il faut encore souvent  marcher plusieurs kilomètres pour trouver de l’eau qui se transporte sur la tête. Dans la plupart des quartiers de Bujumbura, l’eau n’est pas disponible 24 heures sur 24.

 

 

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15 mars 2016

Burundi: Protection de l’Environnement

 

Au Burundi  le Forêts, l’environnement et des Changements Climatiques sont gérés par l'OBPE (Office Burundais pour la Protection de l’Environnement), créé par décret N° 100/240 du 29 Octobre 2014 portant création, missions, organisation et fonctionnement de l’Office. L’OBPE est donc un établissement public doté de la personnalité juridique, d’un patrimoine propre et d’une autonomie financière et administrative. L’OBPE est placé sous la tutelle du Ministère de l’environnement.  

La mission de l'OBPE est de:

  • Assurer le suivi et l’évaluation des programmes de développement pour s’assurer du respect des normes environnementales dans la planification et l’exécution de tous les projets de développement, susceptibles d’avoir un impact négatif sur l’environnement;
  • Entreprendre et encourager les recherches et les mesures d’accompagnement pour le maintien de la diversité biologique;
  • Etablir les normes de qualité des essences forestières;
  • Faire respecter les normes environnementales et proposer toutes les mesures de sauvegarde et de protection de la nature;
  • Identifier et proposer de nouvelles Aires à protéger et d’autres zones riches en biodiversité nécessitant des mesures spéciales de protection;
  • Mettre en place des mécanismes d’atténuation et adaptation aux changements climatiques;
  • Mettre en place et faire le suivi des mécanismes de commerce et d’échanges internationaux des espèces de faune et de flore;
  • Préparer les dossiers techniques pour la Commission Nationale de l’Environnement. 
  • Veiller à la mise en œuvre des obligations découlant des Conventions et Accords internationaux relatifs à l’environnement auxquels le Burundi est Partie;
  • Veiller au respect du Code de l’Eau, du Code forestier, du Code de l’environnement et autres textes en rapport avec la protection de  l’environnement;

Pour plus de détails voir le décret en pdf ici:

 

 

 

 

 

12 juillet 2016

Nous ne pouvons pas tous travailler comme fonctionnaires de l'Etat. Comment se lancer comme indépendant

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Entamer une activité d'indépendant représente une décision importante. Qui nécessite de s'y préparer. Le démarrage prend du temps Veillez à connaître parfaitement le marché avant de débuter comme freelancer. Sachez dans quel domaine vous comptez vous...
14 juillet 2016

Les difficultés de financement et la mauvaise lecture du marché comme freins au décollage des start-up en Afrique

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Selon l'OPALE la notion de start-up est apparue aux USA à la fin des années 1990, lors du « boom internet » à l’origine de la naissance de la « nouvelle économie ». Des entreprises se sont alors développées en nombre et rapidement, autour notamment de...
11 avril 2017

Innovation Digitale, le potentiel du continent Africain futur géant numérique!

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Olivier Labbe (Directeur général chez Cap dc) nous offre cet article encourageant pour le développement de l'afrique en général et du Burundi en particilier. Lisons: A un peu plus de 50 ans, je m’amuse toujours à expliquer aux jeunes de 25 ans que, lorsque...
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15 mars 2016

Investir dans le commerce et l'Industrie au Burundi

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La plupart des organisations professionnelles du secteur privé burundais (industries, commerce, mines, artisanat, transport, BTP, banques et assurances, NTIC, agro-industrie, tourisme et hôtellerie) sont réunies au sein de la Chambre Fédérale du Commerce et de l’Industrie  du  Burundi (CFCIB en sigle). De ce fait, la CFCIB est vouée au soutien et à la promotion des investissements et des activités privées au Burundi. Comme le dit petitfute.com c'est sans doute par là qu'il faut commencer pour entreprendre au Burundi et comprendre la législation économique nationale.

 

La CFCIB a pour objet d'initier, de proposer et de soutenir toutes les actions visant à améliorer l'environnement des affaires en vue du développement du secteur privé. En d'autres termes, elle assure l’encadrement et la représentation des chambres sectorielles. Elle joue le rôle d’intermédiaire entre le secteur privé et le gouvernement. Elle est composée de 11 chambres sectorielles et de 2 chambres transversales, toutes indépendantes. La fédération offre  des formations aux entrepreneurs membres et assure la plaidoirie entre eux et le gouvernement. En gros elle assure leur encadrement au plus haut niveau  et ils bénéficient des moyens de promotion via les medias. La CFCIB a gagné 3 fois le prix du meilleur informateur au niveau Africain, elle a un lien de partenariat solide avec la BAD pour la formation des entrepreneurs. Son site web est: http://www.cfcib.bi/

 

Pour adhérer à la chambre fédérale,  il faut avoir créé une chambre professionnelle, être dans le secteur professionnel. La cotisation varie selon le nombre de membres de chaque chambre sectorielle. La cotisation minimale est de 500.000Fbu par an et pour chaque chambre. Mais elle peut aller au-delà  selon  que le nombre de membres de la chambre est élevé.

Notons que la CFCIB est née en Avril 2010 en remplacement de la chambre de Commerce, d’Industrie, du Commerce et d’Artisanat du Burundi. La CFCIB est née dans le but de collecter les efforts qui étaient dispersés. Elle compte aujourd’hui plus de 2500 membres ayant un numéro d’identification fiscale. L'institution dispose aussi de sa station de radio CCIB FM+ (99 FM).

1 mars 2016

Energies renouvelables au Burundi

http://lenergeek.com/wp-content/uploads/2012/04/centrale-hydroelectrique.jpg

Le Burundi a un potentiel électrique exploitable de 1.300 MW mais aujourd’hui seuls quelques 30-50MW sont effectivement exploités bien que divers projets pour réduire ce déficit énergétique soient en cours.

La production d’énergie du Burundi ne suffit pas pour satisfaire la demande sur le long terme même si la consommation moyenne d’énergie du Burundi reste l’une des plus faibles d’Afrique, avec seulement 23 kWh par personne et par an. En plus la mise en œuvre du projet de raffinerie du nickel à Musongati dans le sud-est du pays aurait un minimum de besoins en capacité de 200 MW. A ce projet s’ajoute la réhabilitation ou la naissance de nouvelles unités ainsi que l’électrification des zones rurales.

Pour palier le déficit énergétique futur, le Burundi a annoncé avoir entrepris certains projets comme la construction de la centrale hydroélectrique de Mpanda (10,4 MW), celle sur la rivière Kaburantwa (20 MW) ou encore une nouvelle centrale thermique d’une puissance de 5 MW à Bujumbura ainsi que la centrale hydroélectrique sur la rivière Kagunuzi de 12 MW. Le Burundi, par ailleurs, aura une part de 49 MW de la production de la centrale hydroélectrique de Ruzizi III d’une puissance de 145 MW construite dans le cadre de la Communauté Economique des Pays des Grands Lacs (CEPGL). Le Burundi bénéficiera aussi de 27 Mw issus de la centrale hydroélectrique de Rusomo-falls d’une puissance de 80 MW qui reliera Burundi, Tanzanie et Rwanda.

 

Malgré ces efforts, le déficit burundais en énergie électrique ne va pas se résorber totalement. Il devrait même continuer d’augmenter. Les études de planification menées par ce ministère démontrent que les problèmes de disponibilité en électricité ne pourront pas être résolus avant 2017-2018, période à laquelle les investissements préconisés participeront normalement au rétablissement de l’équilibre énergétique du pays.

Afin de répondre aux besoins énergétiques croissants de sa population, tout en prenant en compte la variable environnementale, le gouvernement du Burundi a initié en décembre 2013 une stratégie portant sur le développement « des énergies nouvelles et renouvelables à l’horizon 2030 ». Cette démarche, qui permettra de proposer des actions concrètes pour tenter de réduire le déficit énergétique du pays, vise à favoriser l’exploitation du potentiel renouvelable considérable du pays (hydraulique, éolien, solaire…).

Plus récemment le ministre burundais de l’Energie disait vouloir atteindre une puissance de production de 370 MW à l’horizon 2017. Pour cela, il a évoqué la construction de plusieurs barrages et le déblocage de fonds pour les travaux d’aménagements afférents (voies d’accès, ligne de transports d’électricité…).

Parmi les projets importants figurent la construction de deux barrages sur les rivières Jiji et Murembwe, la centrale hydroélectriques qui sera érigée sur la rivière Ruzibazi, ainsi que les centrales de MPanda, de Kabu 16 (implantée sur la Kaburantwa) et de Kagu 006 (sur la Kagunuzi). A cela s’ajoute également d’autres projets, comme une centrale solaire pilote et la centrale hydroélectrique de Ruzizi III, que se partageront le Burundi, la République du Congo et le Rwanda.

Source: Article actualisé à partir de http://lenergeek.com

 

4 août 2016

Des banques européénneé investissent en Afrique

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Selon jeune afrique, les institutions financières de développement Norfund et FMO, et la banque hollandaire Rabobank apportent à Arise leurs participations dans une dizaine de banques, dont Bank of Africa. Les trois partenaires ont annoncé qu’Arise «...
27 août 2016

Quand la Belgique Conditionner l’aide au développement au rapatriement des migrants en situation irrégulière

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18 août 2015

CIDH défend les droits humains (femme-enfant)

Le 10 décembre 1948, les 58 États qui étaient membres de l’ONU (l’Organisation des Nations Unies) ont signé la Déclaration universelle des droits de l’homme. Ce texte est une liste de 30 choses [1] auxquelles tous les humains sans exception ont droit....
18 avril 2016

Exploitation du Nickel au Burundi état des lieux 2016

Le budget de l'Etat Burundais repose à plus de 50% sur l'aide au développement. Alors que plusieurs pays ont menacé de suspendre leur coopération, le Burundi se remet sur les rails du développement en commençant l’exploitation de ses richesses minières....
2 mai 2016

INTRETIEN D'EMBAUCHE: 50 QUESTIONS LES PLUS POSEES-glassdoor.com

Source: https://www.glassdoor.com When it comes to the interview process, research and preparation for the interview can often times determine your chances of making it to the next step. One of the best ways to get ready for a job interview is to practice...
18 avril 2016

Coopération Technique Belge (CTB)/Agence Belge de Développement (BDA)

Au Burundi, depuis 2010, la Coopération Technique Belge (CTB) concentre son action autour de trois axes principaux: la Santé, l'Éducation et l'Agriculture. Sur proposition du vice-premier ministre et ministre de la Coopération au développement Alexander...
28 mars 2020

La chloroquine et l'hydrochloroquine : traitements miracles du professeur Didier Raoult contre le coronavirus covid-19

Source1: https://www.youtube.com/watch?v=uWOTtMEGKx8 L'article ci-dessous vient de [http://www.leparisien.fr] Par Nicolas Berrod et Frédéric Mouchon Dans la « guerre » du corps médical contre le coronavirus, les plus fervents partisans du professeur Didier...
18 novembre 2018

Le CIDH ou Central d'Initiatives pour le Développement et la Défense des Droits Humains lance le projet FERME BIO à Karuzi.

Le CIDH ou Central d'Initiatives pour le Développement  et la Défense des Droits Humains lance le projet FERME BIO à Karuzi.
8 février 2016

Bienvenu(e)s au CIDH

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